En 2012, en Californie, Susan Olesek a perçu comment l’Ennéagramme pouvait être une ressource pour les détenus en prison. Le projet s’est développé et, après les Etats-Unis, a gagné la Finlande, la Belgique, l’Australie, le Royaume-Unis, la Belgique et, depuis 2019, la France.
Preuve est faite qu’indépendamment de la dimension humaine de “se retrouver soi-même”,
l’ennéagramme contribue à diminuer significativement le taux de récidive…
Bravo aux formateurs et formatrices bénévoles qui sont au cœur de ce projet.
>> RTL en a même fait le sujet d’une de ses émissions <<
Pour les anglophones, retrouvez plus d’informations sur la page Facebook EPP
Voici également un autre article que nous avions fait sur le sujet.