🎬 Peaky Blinders & l’Ennéagramme : “Fais-moi une promesse, puis trahi-la lentement sous la pluie.”
Parce que sous chaque casquette plate, il y a une blessure d’enfance bien repassée.
Qui n’a pas vu ce chef d’œuvre esthétique à part Virginie ?! Promis je ne leur dirais pas… trop peur !
Et si on regardait les Shelby & Cie non pas comme des criminels charismatiques, mais comme des névrosés bien sapés en pleine tentative de régulation émotionnelle foireuse ?
Voici une lecture (très sérieuse, mais un peu cassée comme Arthur à 8h du mat) des figures emblématiques de Peaky Blinders à travers les 9 types de l’Ennéagramme.
Entre loyauté, mélancolie, rage, ambition et cigares mal éteints. Prépare ton whisky casher, ton accent improbable et ton trauma en veston pour la meilleure réunion de famille dysfonctionnelle de toute l’Angleterre industrielle 💣🎩….
- 🖤 Thomas Shelby – Type 4 en tête-à-tête (avec une fucking flèche 1) – Le poète damné en gilet pare-balles émotionnel
“Je suis vide. Mais regarde comme je suis vide avec élégance.”
Mélancolie, isolement, introspection constante.
Tommy est un type 4 qui organise son empire autour de son abîme.
Il ne contrôle pas par soif de pouvoir, mais par peur du vide. Chaque silence est un cri artistique refoulé.
Il souffre comme d’autres jouent du piano : avec maîtrise.
💬 Phrase typique : “La guerre n’est pas finie. Elle est juste rentrée chez moi.”
- 🧨 Arthur Shelby – Type 8 en tête-à-tête – Le guerrier en larmes sous la moustache
“Je t’aime, bordel. Donc je hurle.”
Arthur, c’est le 8 émotionnel non traité. Il protège, il frappe, il fond.
C’est la loyauté version rollercoaster sous cocaïne entre autres.
Il alterne entre l’amour inconditionnel, la violence incontrôlable et des larmes en position fœtale dans une église vide (t’as la réf’ ?).
💬 Phrase typique : “Tuez-les tous. Mais en priant d’abord.”
- 🖋️ Polly Gray – Type 2 en tête-à-tête – La marraine qui t’aime jusqu’à te briser
“Je t’ai donné la vie. Maintenant je veux ton âme… et ton agenda.”
Polly, c’est l’amour stratégique.
Elle donne tout, mais elle attend l’adoration, la fidélité et le mot de passe de ton compte bancaire.
Matriarche, mentor, psychanalyste improvisée, elle gouverne par l’émotion.
Mais attention : son cœur est une arme.
💬 Phrase typique : “J’ai lu dans ton cœur. Du coup, tiens, une claque.”
“Je veux juste que ça tienne. Même si je dois le souder avec mes poings.”
John, c’est le 6 en mode rue : loyal, fidèle, prêt à mourir pour le clan.
Mais sous l’assurance ? Des doutes, des angoisses, et une peur panique de ne pas suffire. Il est celui qu’on appelle. Mais il aurait aimé être celui qu’on rassure.
💬 Phrase typique : “Dis-moi ce qu’on fait. Je suis prêt. Je suis toujours prêt.”
“Je suis contre. Mais je t’ai mis des munitions dans ton sac. Juste au cas où.”
Ada, c’est la boussole morale.
Elle veut que ça change, que ça soit juste, propre.
Mais la famille, le sang, l’amour : tout la rattrape.
Elle lutte entre sa rage éthique et son attachement. Elle milite en talons avec une conscience lourde et un revolver discret.
💬 Phrase typique : “C’est mal. Mais je suis là.”
“Je suis né pour diriger. J’ai un brushing pour le prouver.”
Michael, c’est le 3 qui veut “réussir mieux que Tommy.”
Ambitieux, lisse, stratégique.
Mais creux émotionnellement et sourd à l’amour réel.
Il veut briller, dominer, s’imposer, quitte à trahir tout le monde et faire des PowerPoint sanglants.
💬 Phrase typique : “Ce n’est pas personnel. C’est professionnel. Et c’est très bien marketé.”
🎭 LES BONUS DÉRAPAGES ÉMOTIONNELS
🐻 Alfie Solomons – Type 7 avec une flèche 1 qui hurle en arrière-plan – Le Sphinx sous acide verbal
“Je vais te tuer. Mais avec des mots si jolis que tu ne seras pas sûr de devoir mourir.”
Alfie, c’est le chaos philosophique.
Il jongle entre l’humour, la folie, la menace, la sagesse biblique et l’envie de vendre du pain (un jour il fera des crêpes comme Astrid).Il déteste l’ennui, donc il s’auto-sabote pour rester vivant, et imprévisible.
💬 Phrase typique : “Tu vois, Thomas, la question n’est pas si je suis fou. C’est à quel point ça t’arrange.”
🕊️ Lizzie Stark – Type 6 phobique – La survivante fatiguée au cœur trop grand
“Je suis forte. Mais j’en ai marre de me battre contre un fantôme.”
Lizzie, c’est la loyauté, la peur, la douleur, la résilience.
Elle veut l’amour. Elle veut une chance. Mais elle est prisonnière d’un homme qu’elle ne reconnaît plus. Elle reste. Elle pleure. Elle résiste.
Mais elle s’éteint lentement, tout en souriant pour sauver les meubles.
💬 Phrase typique : “Je vais bien. Non vraiment. J’ai juste pleuré dans l’écurie ce matin.”
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💭 DÉLIRE BONUS : Les Shelby à un stage de développement personnel animé par Cristina Yang
Lieu : un monastère reconverti en salle de coaching intensif avec la cloche pour qu’ils reviennent d’exercice comme dans le jardin d’Adèle Picot)
Ambiance : trauma, silences tendus, Polly qui fume dans les toilettes.
Cristina (coache 3 qui perd du temps et que ça gonfle) :
“Les émotions ne sont pas une faiblesse. Sauf si vous êtes Arthur. Là, faut doser.”
- Tommy : ne parle pas, mais dessine des labyrinthes sur un carnet.
- Arthur : propose d’étrangler le trauma.
- Polly : anime les cercles de parole à la place de Cristina.
- Ada : fait des PowerPoint sur les limites personnelles.
- Michael : se filme pour sa chaîne YouTube.
- Alfie : explose en métaphores et repart avec l’animatrice.
💬 Cristina (épuisée) : “J’vais retourner bosser avec Meredith. Au moins là-bas, les gens meurent pour de vrai.”
👉 Et toi, t’es qui dans Peaky Blinders ?
(Ne mens pas. On sait que t’es Alfie Solomons avec l’âme de Polly et le cœur de Lizzie.)
📲 Partage à un·e pote qui EST Arthur (et qui t’envoie des notes vocales dramatiques à 3h du mat, mais qui t’aime fort.)
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